Entre quête de sens, santé mentale et remise en question des modèles établis, la génération Z bouscule notre rapport au travail. Si certains y voient une fragilité ou un désengagement, d’autres y lisent une forme d’adaptation lucide à un monde instable et à un marché professionnel en mutation. Préparés autrement, formés différemment, les jeunes diplômés ne fuient pas le travail, au contraire ils en redéfinissent les contours. Un défi pour les entreprises, les institutions et les modèles pédagogiques appelés à les comprendre plutôt qu’à les juger.
26 mai 2025